dimanche 26 avril 2009

Le paradis perdu


Acrylique et huile sur toile 100x80
Ils ont pour gaie compagne,
La vie à jamais libérée de labeur.
Jamais plus leurs fortes mains ne creuseront la terre ou la mer,
Peinant pour leur arracher une nourriture qui ne rassasie pas,
Parmi ceux que les dieux honorent ils vivent à présent
Une vie qui ne connait plus de larmes
Extrait de "la mythologie" de Edith Hamilton

3 commentaires:

Rénica a dit…

une vie qui ne connait plus de larmes ? et les larmes de joie?
je suis avec cette toile au pays de Gauguin

LPX a dit…

J'ai failli l'appeler "Les jardins de Gauguin".Bonne semaine à toi.

menfin a dit…

oui vraiment ça ramène a Gauguin